De la nature humaine

Publié le par Enitsir

 

 

Qui nous sommes est plus important que ce que nous faisons




Il était une fois..... 
Ainsi commencent les histoires pour enfants, essentiellement les contes, où il est mis en opposition  au travers des personnages le bien et le mal. Peut-être une façon d'apprendre qu'il y a toujours un bien pour un mal....

et si l'on racontait celles des adultes, par quoi commencer ?

"N'oublie jamais que derrière l'arbre se cache la forêt" .
Y-a-t-il parfois un MAL pour un BIEN ?

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"vous voyez sur la photo cet arbre vert, qui a conservé ses feuillles, qui semble être le plus vivant de tous ?" Il est dans l'illusion  de la toute-puissance, de l'immortalité.

Ne vaut-il mieux pas ces arbres qui au gré des saisons renaissent à chaque fois plus grands, plus forts, plus beaux. Ils représentent le cycle de la vie : à certains moments nous perdons nos feuillles mais nous ne sommes pas morts. Nous nous embellissons chaque jour davantage si de cette perte, nous allons chercher en nous le meilleur qui nous fera grandir de nouveau.




Les apparences sont parfois trompeuses : certains êtres humains malheureusement, sous leur meilleur apparat, nous fixe sur un seul arbre et un jour, nous découvrons, souvent  à nos détriments, que l'honnêteté n'est pas le lot de tout un chacun, et que cet arbre cachait la forêt.

Que faire alors ? Faire preuve de sagesse, et surtout garder son intégrité.
Se raccrocher à ses prppres valeurs : le respect de l'autre, la loyauté

ET SAVOIR QU'IL Y A TOUJOURS UN BIEN POUR UN MAL

Publié dans Condition humaine

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